Première après-midi d'impulsion : une rencontre pleine d'énergie
Les points forts de la première partie de l'après-midi d'impulsion du 31 octobre 2023 ont été les aperçus sans fard du quotidien avec l'eMediplan :
Jeta Destani : Chez Pizolcare, les assistantes médicales et les assistants médicaux proposent une consultation de médication sur la base de l'eMediplan (système primaire : Vitomed, Vitodata AG).
Brigitte Emmenegger : A l'hôpital municipal de Zurich Triemli, des médecins-assistants ont introduit l'eMediplan dans un service d'urgence pour faciliter leur travail, grâce à un important travail de persuasion auprès de la direction de l'hôpital (système primaire : Kisim, Cistec AG).
Les exemples tirés du quotidien des cabinets médicaux, où les assistantes médicales et les assistants médicaux proposent une consultation de médication sur la base du plan eMedi ou les médecins assistants d'un service d'urgence souhaitaient introduire le plan eMedi pour faciliter leur travail, ont été impressionnants et sont devenus réalité grâce à l'écoute de l'hôpital.
Dans la deuxième partie, les plus de 70 participants, guidés par le modérateur Enrico Kopatz, ont discuté de deux thèmes de manière très engagée :
Les véritables obstacles à l'expansion de l'eMediplan
Des solutions pour surmonter ces obstacles
Un résultat central en découle : Le manque de temps est plus important que la rémunération des efforts fournis : "Nous manquons de capacités". "Il manque des responsabilités claires". "La gestion des données est souvent négligée". "L'effort et l'utilité ne se produisent pas au même endroit". "Il est clair qu'il est nécessaire de connaître la médication actuelle et complète pour garantir la sécurité de la thérapie médicamenteuse. Mais où trouver le temps ...".
D'un autre côté, des solutions sont discutées pour l'indemnisation financière ou le financement initial. Il est par exemple important d'avoir une vision commune - le GI eMediplan joue ici un rôle central. Il convient également de mieux communiquer la valeur ajoutée d'un plan eMedi bien géré ; des formations spéciales pourraient également y contribuer.
La question de savoir si l'utilisation d'un plan de médication électronique doit être prescrite par la loi fait l'objet d'une discussion controversée. Le groupe est en revanche d'accord sur le fait que l'introduction du plan eMedi ne réussira que grâce à des professionnels de la santé engagés, indépendamment des conditions cadres.
Présentations
Introduction - Sven Streit, professeur et docteur en médecine
Informations actuelles - Dr. sc. nat. et med. Andreas Bührer
Cabinet médical - Jeta Destani, MPK, cabinet médical PizolCare à Wartau